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Étiquette : The Grand Budapest Hotel

Wes Anderson L'Édito

Go Wes !

Mais oui, allons vers Wes, Anderson bien sûr, dont un cycle fait son apparition cette semaine afin d’annoncer son prochain Asteroid City, qui sera sur nos écrans le 21 juin

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11 Oscars au Grand Action.

Si Birdman, le dernier film d’Alejandro González Iñárritu sorti mercredi dernier rafle le gros lot avec quatre Oscars majeurs, Whiplash, récompensé pour son montage, son mixage et la performance de J.K. Simmons s’en sort bien, tout comme The Grand Budapest Hotel, auquel le jury a décerné 4 statuettes

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The smell of Télérama.

Tout comme les bourgeons au printemps et les feuilles mortes en automne, le Festival Télérama réapparait tous les ans. L’occasion de revenir sur l’année cinématographique écoulée en 7 de ses meilleurs films, visibles à un prix préférentiel grâce au magazine, qui soutient spécialement Au Bord du Monde. Claude Drexel,

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Volcanique

Si White Dog, le chien tueur de Samuel Fuller est éruptif et que le cinéma de Luis Buñuel, brûlant comme une coulée de lave, a emporté sur son passage toutes les règles, à commencer par celle de la bienséance, cette lettre doit son titre à Stromboli.

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Sam et Luis.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Au premier regard, cette semaine s’annonce calme. Pas d’événement ni de soirée spéciale. Ce qui laisse toute la place à nos stars du moment, en l’occurrence d’immenses cinéastes que l’on ne voit que trop rarement dans les salles. Le premier, c’est Samuel Fuller, franc tireur du cinéma américain, à qui nous consacrons un cycle pour […]

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Eloge de la cruauté.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Le cinéma est un merveilleux outil pour rêver, rire, s’évader, réfléchir, découvrir, s’émouvoir. C’est aussi un art qui permet de montrer la bêtise et la cruauté des hommes. Ainsi le White Dog de Samuel Fuller (comme d’ailleurs certains des autres films de son cycle, dont le célébrissime Shock Corridor) est dressé pour dénoncer la violence raciste […]

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Des Fuller, des Palmes, des Russes et des Scientifiques.

Une semaine toujours dominée par les crocs de White Dog – Dressé pour tuer, le gentil chien tueur, qu’un cycle Samuel Fuller accompagne en promenade. Il prend quelques séances à celui des Palmes d’Or

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Un chien blanc et des événements.

Ça fait plaisir, lorsque l’on ressort un film de plus de 30 ans, de voir des salles pleines, un public en attente et une critique enthousiaste.  C’est ce qu’il se passe avec White Dog – Dressé pour Tuer, adaptation par Samuel Fuller du roman de Romain Gary

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Kristy McNichol dans Dressé pour tuer (White Dog) L'Édito

Fuller et Depardon.

Les grands du cinéma se succèdent au Grand Action. Samuel Fuller, décédé en 1997, sera représenté par White Dog – Dressé pour Tuer, adapté du roman de Romain Gary, que nous ressortons cette semaine sur copie neuve

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King John, himself.

My God ! John Boorman, le mythique réalisateur de Leo The Last et d’Excalibur (entre autres) sera parmi nous lundi à 19H30 pour nous présenter Délivrance, film hautement traumatique qui fut éclairé par…Vilmos Zsigmond

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Notre cher Vilmos.

Beaucoup de films cette semaine, dont bon nombre ont été éclairés et/ou seront présentés par notre cher Vilmos Zsigmond. C’est Pierre Filmon, membre de l’équipe du Grand Action et réalisateur, qui nous amène ce chef opérateur star avec qui il prépare un film

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Vilmos et les Palmés.

Semaine très chargée, avec le début de notre hommage à Vilmos Zsigmond, qui obtint une Palme en 1973 pour L’Epouvantail. Cet immense chef opérateur nous fait l’amitié de venir nous présenter deux grands films de Cimino qu’il a éclairés : Voyage au Bout de l’Enfer et La Porte du Paradis.

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Palmes d’Or et mumblecore

Alors que notre Cycle Mumblecore qui fête la sortie de Computer Chess d’Andrew Bujalski entame une dernière semaine riche en présentations

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Projections spéciales.

Nous entamons la deuxième semaine consacrée à notre Cycle Mumblecore mené par Computer Chess, d’Andrew Bujalski, pionnier  du genre

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Mumble quoi ?

Mumblecore ! C’est ce courant hyper pointu du cinéma américain hyper indépendant et hyper contemporain qui domine cette semaine. Mené par Computer Chess, le quatrième film d’Andrew Bujalski,

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Echec et cinémat

Les 64 cases du jeu d’échec fascinent l’humanité depuis bien longtemps. Elles sont au centre de notre sortie de la semaine, Computer Chess, un film plutôt étrange d’Andrew Bujalski

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Lacan et l’encan.

Notre programme de la semaine conserve les points forts de la dernière : The Canyons thriller pervers de Paul Schrader, et The Grand Budapest Hotel, fantaisie virevoltante de Wes Anderson

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Ho Corse, île de cinéma.

Au niveau de la programmation, c’est assez simple, avec les projections de nos dernières exclusivités, à savoir The Grand Budapest Hotel, la délicieuse fable survoltée de Wes Anderson, The Canyons le thriller érotico-tordu de Paul Schrader

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Le Grand Canyon

Après The Grand Budapest Hotel, la dernière fantaisie de Wes Anderson qui demeure à l’affiche, nous changeons radicalement de genre pour notre nouvelle sortie, qui se trouve sur l’autre versant de la grande vallée du cinéma. The Canyons marque le retour à la caméra d’un immense scénariste passé à la réalisation

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Jouons avec les cerveaux

En nous présentant le petit monde saugrenu du Grand Budapest Hotel, Wes Anderson s’amuse de nos neurones, tout en les amusant. C’est d’ailleurs ce qu’il fait depuis le début de sa carrière que son Cycle retrace. Une démarche proche de celle de Billy Wilder, dont Un, Deux, Trois est l’invité

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Fantaisisme pointilleux.

S’il fallait inventer un genre pour qualifier le cinéma de Wes Anderson, le « fantaisisme pointilleux » constituerait sans doute une piste sérieuse. Avec The Grand Budapest Hotel, qui tient

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Bienvenue à l’hôtel Anderson.

Nous attendons depuis un petit moment ce mercredi 26 février pour avoir le bonheur de vous proposer de passer deux heures en très bonne compagnie au Grand Budapest Hotel.

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Deux semaines de cinéma.

Cette quinzaine va être riche en évènements avec un Cinéma-Club autour de Zelig de Woody Allen, L’Impasse Tragique, d’Henry Hathaway pour le Ciné-Club Positif et Le Voyage Fantastique, de Richard Fleischer

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