Diabolique.
Après le « volcanique » qui titrait notre lettre de la semaine dernière, voici donc « diabolique ». Un adjectif qui va très bien au White Dog, de Samuel Fuller
Lire en entierAprès le « volcanique » qui titrait notre lettre de la semaine dernière, voici donc « diabolique ». Un adjectif qui va très bien au White Dog, de Samuel Fuller
Lire en entierSi White Dog, le chien tueur de Samuel Fuller est éruptif et que le cinéma de Luis Buñuel, brûlant comme une coulée de lave, a emporté sur son passage toutes les règles, à commencer par celle de la bienséance, cette lettre doit son titre à Stromboli.
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