Toujours plus haut.
Plus haut d’abord avec Werner Herzog dans ses intrépides Ascensions. Un programme de deux documentaires restaurés où le plus étonnant des cinéastes allemands prend d’assaut le volcan de La Soufrière
Lire en entierPlus haut d’abord avec Werner Herzog dans ses intrépides Ascensions. Un programme de deux documentaires restaurés où le plus étonnant des cinéastes allemands prend d’assaut le volcan de La Soufrière
Lire en entierWerner Herzog, sans doute le plus grand cinéaste allemand vivant, est au sommet cette semaine, et ce pour plusieurs raisons. D’abord pour la ressortie sur copie restaurée de deux de ses documentaires regroupés sous le titre Les Ascensions
Lire en entierOutre le fait de rendre hommage au sublime film d’Agnès Varda que nous propose le Cinéma-Club (le Bonheur, vendredi soir), ce titre annonce aussi l’Ouverture d’Addiction à l’œuvre, une ambitieuse histoire du cinéma
Lire en entierLa ressortie sur une magnifique copie neuve du chef d’œuvre de Leone, Le Bon, la Brute et le Truand, nous donne l’occasion de ce titre, qui peut assez bien résumer notre programme. Côté « bons », il y a celui déjà cité, les autres films du cycle Sergio Leone,
Lire en entierEntre Le Bon, la Brute et le Truand, accompagné d’un cycle Sergio Leone où les affrontements sont sanglants, et Massacre à la Tronçonneuse, complété par un Cycle Folies Meurtrières,
Lire en entierUne semaine testostéronée et culte s’annonce avec trois films qui ont marqué leur époque et inventé un genre. D’abord, le fameux Massacre à la Tronçonneuse, cauchemar absolu de Tobe Hooper devenu modèle du slasher
Lire en entierL’événement de la semaine (même s’il est sorti mercredi dernier), c’est bien sûr Django Unchained, ou « il était une fois dans le Sud » de Quentin Tarantino
Lire en entierCette année commence au Grand Action avec nos vœux, mais d’abord avec une belle sélection de films signés par les plus fameux réalisateurs d’outre-Atlantique. Entre cycles et événements, sont présents Hawks, Kubrick, Ferrara
Lire en entierSi vous lisez cette lettre, c’est que les Mayas s’étaient donc bien trompés, tout comme Nostradamus il y a quelques années. La fin du monde n’est pas pour tout de suite – elle viendra bien assez tôt -, mais elle demeure le sujet d’Abel Ferrara dans 4:44, Dernier Jour sur la Terre.
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