Scroll down
Archives

Étiquette : fantastic mr fox

Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig dans S.C.U.M manifesto 1967 L'Édito

Certaines femmes.

Titre clin d’œil au film de Kelly Reichardt, et à toutes les femmes qui tiennent le haut de l’affiche. Pour la troisième fois seulement, le Festival de Cannes vient de couronner une réalisatrice…

Lire en entier
Wes Anderson L'Édito

Go Wes !

Mais oui, allons vers Wes, Anderson bien sûr, dont un cycle fait son apparition cette semaine afin d’annoncer son prochain Asteroid City, qui sera sur nos écrans le 21 juin

Lire en entier
Michelle Williams dans Showing up L'Édito

Prendre le temps.

Un peu de calme ne fait pas de mal à Neptune Frost, la comédie musicale afro-futuriste de Saul Williams et Anisia Uzeyman, ni à Showing Up, le délicat portrait d’artiste de Kelly Reichardt, et encore moins à Dirty, Difficult, Dangerous,

Lire en entier
dans Neptune Frost L'Édito

Noble entreprise

Raconter une histoire en images, évoquer l’intime et l’universel, défendre un propos, imposer des personnages ; il faut tout cela pour faire un film. On peut s’y risquer avec délicatesse comme dans Showing Up, ou de façon plus baroque, brutale, comme Saul Williams et Anisia Uzeyman pour Neptune Frost.

Lire en entier
L'Édito

L’ombre et la lumière

Chères spectatrices, chers spectateurs, « Il n’y a pas de lumière sans ombre » disait Aragon. La réciproque est vraie. Les deux se conjuguent pour faire naître des images au cinéma, et se répondent dans notre programme de la semaine. L’ombre, c’est celle des potences, film un peu oublié de Nicholas Ray que nous ressortons […]

Lire en entier
L'Édito

A l’ombre de Nic Ray.

Si les plus proustiens d’entre vous préféreraient que l’ombre soit celle des jeunes filles en fleur, ils devront la chercher dans les rues de Paris où elles pullulent en cet estival mois de juin. L’ombre du Grand Action est plus sombre, puisque nous vous proposons une rareté de Nicholas Ray

Lire en entier
L'Édito

Lacan et l’encan.

Notre programme de la semaine conserve les points forts de la dernière : The Canyons thriller pervers de Paul Schrader, et The Grand Budapest Hotel, fantaisie virevoltante de Wes Anderson

Lire en entier
L'Édito

Jouons avec les cerveaux

En nous présentant le petit monde saugrenu du Grand Budapest Hotel, Wes Anderson s’amuse de nos neurones, tout en les amusant. C’est d’ailleurs ce qu’il fait depuis le début de sa carrière que son Cycle retrace. Une démarche proche de celle de Billy Wilder, dont Un, Deux, Trois est l’invité

Lire en entier
L'Édito

Fantaisisme pointilleux.

S’il fallait inventer un genre pour qualifier le cinéma de Wes Anderson, le « fantaisisme pointilleux » constituerait sans doute une piste sérieuse. Avec The Grand Budapest Hotel, qui tient

Lire en entier
L'Édito

Bienvenue à l’hôtel Anderson.

Nous attendons depuis un petit moment ce mercredi 26 février pour avoir le bonheur de vous proposer de passer deux heures en très bonne compagnie au Grand Budapest Hotel.

Lire en entier
L'Édito

Bonne nuit et bonne chance.

Chères spectatrices, chers spectateurs,En cette période de folie footballistique, le cinéma demeure un excellent moyen d’échapper à des matchs navrants, rythmés par l’entêtante vuvuzela et les commentaires affligeants des consultants. Pour éviter que le ballon rond ne vous mette la tête au carré, voici donc notre programme de la semaine, avec une avalanche de Palmés […]

Lire en entier