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Étiquette : à bord du darjeeling limited

Wes Anderson L'Édito

Go Wes !

Mais oui, allons vers Wes, Anderson bien sûr, dont un cycle fait son apparition cette semaine afin d’annoncer son prochain Asteroid City, qui sera sur nos écrans le 21 juin

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Lacan et l’encan.

Notre programme de la semaine conserve les points forts de la dernière : The Canyons thriller pervers de Paul Schrader, et The Grand Budapest Hotel, fantaisie virevoltante de Wes Anderson

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Jouons avec les cerveaux

En nous présentant le petit monde saugrenu du Grand Budapest Hotel, Wes Anderson s’amuse de nos neurones, tout en les amusant. C’est d’ailleurs ce qu’il fait depuis le début de sa carrière que son Cycle retrace. Une démarche proche de celle de Billy Wilder, dont Un, Deux, Trois est l’invité

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Fantaisisme pointilleux.

S’il fallait inventer un genre pour qualifier le cinéma de Wes Anderson, le « fantaisisme pointilleux » constituerait sans doute une piste sérieuse. Avec The Grand Budapest Hotel, qui tient

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Bienvenue à l’hôtel Anderson.

Nous attendons depuis un petit moment ce mercredi 26 février pour avoir le bonheur de vous proposer de passer deux heures en très bonne compagnie au Grand Budapest Hotel.

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Deux semaines de cinéma.

Cette quinzaine va être riche en évènements avec un Cinéma-Club autour de Zelig de Woody Allen, L’Impasse Tragique, d’Henry Hathaway pour le Ciné-Club Positif et Le Voyage Fantastique, de Richard Fleischer

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Films cultes et événements.

En 1985, Terence Davies se lance dans la réalisation d’un film autobiographique : Distant Voices, où des acteurs rejouent sa vie de famille dans une modeste banlieue de Liverpool

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L'Édito

Dernières projections et projection spéciale.

Chères spectatrices, chers spectateurs, Les meilleures choses ayant une fin, notre réédition de 2001, l’odyssée de l’espace, énorme et indémodable chef d’œuvre de Stanley Kubrick vieux de 40 ans

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Josh Brolin dans No Country for Old men L'Édito

And the Winner is…

le Grand Action peut aussi être fier de projeter le gagnant de 4 Oscars, dont Meilleur second rôle (pour Javier Bardem) et – événement exceptionnel – Meilleur film – Meilleure réalisation et Meilleur scénario adapté. Tout ça pour No Country For Old Men (Non, ce Pays n’est pas pour le Vieil Homme),

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