Déguisé en prestidigitateur, Orson Welles évoque la vie d’Elmyr de Hory, célèbre faussaire, d’Howard Hugues et d’Oja Kodar, maîtresse de Picasso qui trahit le maître.
« L’art est un mensonge qui fait comprendre la réalité ». Telle est la conclusion wellesienne de ce film étrange, variation sur l’art, le vrai et le faux, tout ça sur une musique de Michel Legrand. Le discours de Welles devant la cathédrale de Chartres peut être considéré comme une sorte de testament moral.