L'histoire, d'après un fait divers réel, de Ray Fernandez et Martha Beck, amants criminels qui suppriment les candidates au mariage un peu mûres mais riches. Pendant leur détention, ils ne cesseront d'échanger une correspondance amoureuse jusqu'à leur exécution.
Le tournage de « Dear Martha » commence, sous la direction d’un jeune cinéaste new-yorkais d’origine italienne dont Kastle et Streibel ont aimé le premier film. Au bout d’une semaine, une seule scène a été mise en boîte, le producteur vire le réalisateur. Le nom du metteur en scène congédié ? Martin Scorsese. Nul ne sait en revanche ce qu’il est advenu de celui qui pendant quelques jours lui succède : l’histoire n’a pas gardé trace du nom Don Volkmann. Lequel, si l’on en croit Kastle, ne savait comment s’y prendre et passait le plus clair de son temps à demander conseil au scénariste.