Entre les enfants de deux villages voisins, les Longevernes menés par Lebrac et les Velrans, menés par l’Aztec, c’est la guerre. Mais le jour où les Velrans apostrophent Grangibus et Tigibus d’une insulte jusque-là inconnue des Longevernes, pourtant experts en jurons fleuris, la guerre prend un tour nouveau. La dernière grande bataille se traduit par la capture d’un prisonnier qu’il faut punir de manière exemplaire. Lebrac se montre particulièrement retors : malheur au vaincu, un Velran, à qui l’on arrache tous ses boutons.