Jean-Luc Godard ne propose pas une histoire chronologique du Septième Art mais plutôt une double exploration, un voyage dans l'histoire de notre siècle, au pays des images et une exploration de la création de Godard lui-même, un autoportrait du cinéaste. C'est l'histoire des émotions suscitées par le cinéma et l'histoire de la solitude du créateur. Histoire(s) toujours inachevées et pourtant passionnées car, dit Godard, « il faut brûler les films, les brûler d'un feu intérieur ».1(a) : 51 min. Toutes les histoires (1988) : Pour Mary Meerson et pour Monica Tegelaar1(b) : 42 min. Une histoire seule (1989) : Pour John Cassavetes et pour Glauber Rocha2(a) : 26 min. Seul le cinéma (1997) : Pour Armand J. Cauliez et pour Santiago Alvarez2(b) : 28 min. Fatale beauté (1997) : Pour Michèle Firk et pour Nicole Ladmiral3(a) : 27 min. La monnaie de l’absolu (1998) : Pour Gianni Amico et pour James Agee3(b) : 27 min. Une vague nouvelle (1998) : Pour Frédéric C. Froeschel et pour Nahum Kleiman4(a) : 27 min. Le contrôle de l’univers (1998) : Pour Michel Delahaye et pour Jean Domarchi4(b) : 38 min. Les signes parmi nous (1998) : Pour Anne-Marie Miéville et pour moi-même