les gloires et les désillusions connues par Mohammed Ali au cours de sa carrière. Champion adulé par les déshérités dont il se fait le porte parole, il côtoie les sommets aux J.O 1960 et lors de sa victoire inattendue face à Sony Liston. Mais connaît l’opprobre quand il refuse d’aller se battre au Vietnam « contre des gens qui ne lui ont rien fait ». Discrédité, il trouve la force d’aller au bout de lui-même pour offrir LE combat du siècle en 1974 à Kinshasa face à Georges Foreman.