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Catégorie : L’Édito

L'Édito

Joyeuses fêtes.

Si vous lisez cette lettre, c’est que les Mayas s’étaient donc bien trompés, tout comme Nostradamus il y a quelques années. La fin du monde n’est pas pour tout de suite – elle viendra bien assez tôt -, mais elle demeure le sujet d’Abel Ferrara dans 4:44, Dernier Jour sur la Terre. 

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La fin de tout

Ça fait deux semaines que l’on vous en parle, mais ce coup ci, c’est bon : la fin du monde est pour bientôt. Et Abel Ferrara la fête avec beaucoup de finesse dans son dernier film 4:44, Dernier Jour sur Terre.

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Fin du monde.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’il s’agit peut-être de notre dernière lettre puisque, d’après les mayas et les médias, l’apocalypse est annoncée pour le 21 décembre. Profitons donc bien de nos ultimes moments au cinéma, avec notre cycle Dernières séances avant probable fin du monde

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La rengaine de la fin du monde.

Comme nous le rappelle notre cycle Dernières séances avant probable fin du monde, l’apocalypse approche. A moins que vous ne vous soyez exilé à Bugarach, village des Pyrénées

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Cinéma témoin

Cette semaine est marquée par la sortie nationale de Piazza Fontana, dernier film de Marco Tullio Giordana. Depuis le sombre destin de Pasolini formidablement décrypté

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L’Enfance de l’Art.

Ce titre emprunté à nos amis des séances jeune public dominicales et des rituelles dernières lignes de nos courriers, fait aussi référence à Fear and Desire, le premier long métrage de Stanley Kubrick

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Cinéma métaphysique.

Dans la Femme au Portrait, petite merveille de Fritz Lang que le Cinéma Club nous propose jeudi soir, la réalité n’est qu’un rêve. Dans le très surprenant Looper, de Rian Johnson, le héros et son double se perdent

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A la Une.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Si nous reprenons cette expression journalistique, c’est que les films « à la Une » de cette semaine parlent de média. Dans le sillage de Ace in the Hole, de Billy Wilder, où un journaliste travestit la réalité pour mieux l’exploiter, suit un cycle consacré aux média. Avec plusieurs œuvres qui ne ménagent pas toujours le […]

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Media power

Il suffit d’allumer son poste de télévision – ce qui est déjà une forme d’aliénation que nous déconseillons – pour constater que les média, dans leur forme souvent la plus vulgaire, ont pris le pouvoir.

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Coup de poing.

Cette semaine va cogner avec la ressortie sur copie neuve du film noir de Billy Wilder, Ace in the Hole, avec le terrifiant et pervers Killer Joe, de William Friedkin

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Retour au classique.

Après la sortie du maléfique Killer Joe, dernier film de William Friedkin qui demeure à l’affiche tout comme le cycle que nous lui consacrons, voici le retour de l’âge d’or hollywoodien

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Friedkin, De Palma, Dupieux et les autres.

Cette semaine est marquée par trois événements, deux cycles et une exclusivité, en l’occurrence le diabolique Killer Joe, dernier film de William Friedkin. Nous lui consacrons également un cycle

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De belles rééditions.

Le rôle du Grand Action est de vous faire découvrir des films. Des nouveaux, bien sûr, mais aussi des anciens auxquels le tirage numérique donne un nouvel éclat. Ainsi Stella, Femme Libre, avec l’incandescente Mélina Mercouri

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Mythes américains.

Le tueur froid, implacable, tout de noir vêtu, fait partie des mythes américains. Issu du western (Henri Fonda dans Il était une Fois dans l’Ouest), il a même été repris par

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Les bas-fonds.

Même si William Friedkin évoque Cendrillon pour parler de Killer Joe – « sauf que le Prince Charmant est un tueur », précise t-il – cette plongée dans le sous-prolétariat texan évoque plus la pièce de Maxime Gorki que le conte de Perrault

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De Palma is blowin’ in the wind.

Et voilà. C’est reparti pour un tour après cette pause estivale. Pendant que certains perdaient leur temps sur une plage, d’autres, nombreux, venaient au cinéma. Nous les en remercions et ils ont pu goûter au vent depalmesque qui a soufflé tout l’été

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Sous le soleil de De Palma.

Chères spectatrices, chers spectateurs,A la suite des avant-premières de la semaine dernière, vous vous doutiez bien que les deux magnifiques rééditions signées Brian de Palma allaient briller sur nos écrans de l’été. Dès mercredi, c’est Pulsions qui va prendre ses aises ; pour Blow Out, ce sera le 15 août. Patience dans l’azur. En attendant, vous pourrez vous réchauffer […]

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Une étoile nommée Stella.

Telle une comète, le festival Paris-Cinéma a laissé derrière lui une trainée de poussières d’étoiles. Parmi elles, quelques perles du cycle consacré à Olivier Assayas, et surtout Stella, Femme Libre, de Michael Cacoyannis

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Paris-Cinéma et Henri Langlois.

Avec la programmation de Paris-Cinéma, incontournable festival parisien, c’est une trentaine de films, dont beaucoup présentés par de prestigieux invités, que nous vous proposons cette semaine. Entre l’intégrale d’Olivier Assayas,

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Paris fait son cinéma.

Comme année entre fin juin et début juillet, le Grand Action accueille le Festival Paris Cinéma, devenu un rendez-vous capital du 7e art. Parmi la richesse de la programmation, nous avons retenu les ressorties de l’été, et surtout la première rétrospective intégrale d’Olivier Assayas.

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Histoires de familles.

La famille, qui est un grand sujet dans la vie (de réconfort, de conflit, de souci, de joie…) est évidemment un grand sujet de cinéma. La famille, son absence ou son délabrement, version comédie, est l’une des pièces majeures de Moonrise Kingdom,

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Semaine chargée.

Si parfois (rarement) notre programmation ronronne un peu, il est des semaines où ça se bouscule. Celle qui s’annonce risque de nous laisser, pour notre plus grand plaisir, ivres et pantois de cinéma.

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Le cinéma en marche.

Alors que se poursuit le succès de Moonrise Kingdom, le film de Wes Anderson qui a monté les marches lors de l’ouverture du festival de Cannes, voici venir notre Ciné-Club Positif de juin avec les Trente-neuf Marches d’Alfred Hitchcock

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Caan et Cannes.

Pendant que le Festival de Cannes bat son plein, un festival de Caan pointe son nez. Pour saluer sa prestation Solitaire, voici quelques films où apparaît James Caan

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En direct de Cannes.

Sortez robes de soirée, escarpins griffés, smokings décalés ! Voici revenu le temps du Festival de Cannes où la planète cinéma se retrouve sur le tapis rouge de la Croisette. Pour fêter les premiers pas de l’édition 2012,

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Je t’aime.

Nous voilà donc avec un nouveau Président. Normal. La majorité, qui a voté pour lui, s’en réjouit. Les autres se lamentent. Normal aussi. Espérons que dans cet exercice Solitaire que représente la plus haute fonction de notre République, le Président saura dire Je t’aime,

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Travail et libération.

En vedette cette semaine Le Solitaire, premier long métrage de cinéma de Michael Mann, dans sa nouvelle livrée sur copie numérique flamboyante.

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Affiche du film Le Solitaire L'Édito

Un solitaire bien entouré.

Comme promis, sort donc cette semaine Le Solitaire, premier long métrage de cinéma de Michael Mann qui, avant ce film de 1981, avait déjà réalisé pour la télévision. Mais ce Solitaire n’arrive pas seul dans nos salles

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Star inconnue

Chères spectatrices, chers spectateurs, Comme les soldats, il est des stars que l’on ne connaît pas. Ainsi le nom de Tonino Guerra, disparu le mois dernier à l’âge respectable de 92 ans, ne parle pas à grand monde, hors un cercle pointu de passionnés. Mais si l’on dit l’Avventura, Nostalghia, Ginger et Fred, les cinéphiles du deuxième rang lèvent […]

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Tricycles

Trois cycles pour vous séduire cette semaine au Grand Action. Le premier consacré à Nicholas Ray pour accompagner la copie neuve de La Fureur de Vivre, le second à Michael Mann pour

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Des cycles à fond la caisse

Ce n’est pas le salon de l’auto cette semaine au Grand Action, mais presque. En suivant le bitume ouvert par Bellflower, nous allons faire chauffer la gomme

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Rencontres en exclusivité.

deux événements qui vont marquer cette semaine au Grand Action. Premier par ordre d’apparition à l’écran, le Ciné-Concert de samedi s’annonce formidable. So This is Paris, de Lubitsch

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Ray au milieu.

Suite logique de la ressortie sur copie neuve de la Fureur de Vivre, Nicholas Ray est au centre de notre programme de la semaine avec une rétrospective non exhaustive de son œuvre.

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Indépendant.

Même s’il nous arrive de projeter des gros films, comme Hugo Cabret, le conte de Martin Scorsese en 2D ou 3D, vous savez bien que le Grand Action, salle indépendante, est naturellement attaché au cinéma indépendant

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Willem Dafoe dans Go Go Tales L'Édito

Welcome to cabaret

Bien sûr, la copie neuve de la Fureur de Vivre, de Nicholas Ray, est toujours à l’écran, tout comme le Hugo Cabret, de Martin Scorsese, visible

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Euphorie(s)

Cette semaine, premier mardi du mois oblige, nous accueillons le Cinéclub de l’école Louis Lumière. Nous verrons Avida, de Gustave Kervern et Benoît Delépine. Etrange rêverie en noir et

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Go Hugo et Go les événements.

Le doublement du « go » du titre est une référence à Go Go Tales, les histoires des Go Go girls du Paradise, le cabaret filmé par Ferrara ; Hugo, c’est bien sûr Cabret, le gavroche scorsesien

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Show must go on.

Après le passage tumultueux et passionnant du réalisateur la semaine dernière, le show Abel Ferrara continue avec la projection de son Go Go Tales, screwball comedy sur un cabaret new yorkais

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Abel Ferrara au Grand Action.

Après Scorsese, dont le festival et le féérique Hugo Cabret sont toujours à l’affiche, voici venir Abel Ferrara. Il sera en personne au Grand Action, vendredi à 20h, accompagné de Shanyn Leigh, pour nous présenter Go Go Tales,

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Martin au cinéma.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Comme le prénom de Scorsese se prononce Martine et que la presque intégralité de nos écrans lui est consacrée, ça fait un titre assez drôle qui évoque une série de livres d’images enfantines, délicieusement traditionnelles et naïves au point d’être aisément détournées. Donc, dans le sillage d’Hugo Cabret, son premier film en […]

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Cinérama

Chères spectatrices, chers spectateurs, « Mais voilà, mais voilà, qu’un soir au cinérama, au ciné en couleur, sur l’écran exhibiteur, une femme, un serpent, une chatte mollement, s’est glissée, s’est lovée au creux de ta peau Léon. Tu l’as dans la peau Léon, Léon, Léon, Léon… » On a toujours du mal à résister au charme des chansons […]

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Qu’est ce que le cinéma ?

Houlala ! Voilà un titre ambitieux emprunté à André Bazin, l’un des penseurs de la cinéphilie, décrypteur du néo-réalisme et parrain de la Nouvelle vague. Rassurez-vous, nous n’allons pas gloser sur le travail de cet immense critique,

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Bienvenue en 2012

C’est Martin Scorsese qui va nous souhaiter une bonne année, avec Hugo Cabrett, sa nouvelle féérie cinéphilique en 3D, et dix autres de ses films, moins destinés au jeune public

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Programme de fête

Cette quinzaine de fêtes, nous vous proposons de la passer avec Hugo Cabret, le conte cinéphile en 3D de notre ami Martin Scorsese, et une rétrospective (18 films en tout

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ASA BUTTERFIELD dans Hugo Cabret L'Édito

Hugo et David.

Hugo, c’est bien sûr Hugo Cabret, le merveilleux cadeau en 3D que nous livre Martin Scorsese, pourtant plus coutumier des règlements de comptes maffieux que des contes de Noël

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Geena Davis dans La Mouche L'Édito

Une mouche et des rendez-vous.

Cronenberg fait d’une simple mouche un objet de terreur. En s’introduisant dans le télétransportateur d’un physicien surdoué, La Mouche va le transformer en monstre.

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Herzog et Cronenberg.

Les événements de la semaine, c’est d’abord l’arrivée du dernier documentaire de Werner Herzog La Grotte des Rêves Perdus, extraordinaire plongée au cœur de la grotte Chauvet en 3D. Mais aussi notre Ciné-Club Louis Lumière du mois, avec Eric Gautier,

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Fins de cycles.

Si le programme de cette semaine diffère assez peu de celui de la précédente, tout va changer (ou presque) mercredi prochain. La terrible baleine Moby Dick, et ses cycles associés – celui consacré à son réalisateur, John Huston,

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Terre et mer.

Chères spectatrices, chers spectateurs,Côté terre, Werner Herzog et ses folies, fictionnelles ou documentaires, et Mamma Roma, la sublime pute pasolinienne incarnée par Anna Magnani que nous propose le Cinéma-Club jeudi à 20h15. Côté mer, Moby Dick, la baleine blanche traquée par le capitaine Achab et d’autres Périls en Mer, titre du festival sur les films maritimes qui, avec celui consacré […]

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Les Monstres sacrés

S’il y a bien un cinéaste qui a passé toute sa carrière à affronter les éléments déchaînés, c’est bien l’allemand Werner Herzog. Nous vous proposons cette semaine un aperçu de l’œuvre pléthorique de ce cinéaste

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