« Boxcar », ça signifie fourgon à bestiaux. C’est là que voyage Bertha, dont le père est mort dramatiquement, victime d’un employeur tyrannique. Il faut dire que dans cette Amérique des années trente ravagée par la faillite de son économie, ils sont nombreux à être réduits au vagabondage. Dans son errance, Bertha rencontrera un syndicaliste révolutionnaire, un noir en fuite et un intellectuel juif déraciné. Avec cette bande, elle s’attaquera aux intérêt de la Compagnie des Chemins de Fer. Tout cela finira dans le sang et Bertha se tournera alors vers la prostitution.